Andrée-Lise Méthot dans la revue Plan de l’Ordre des ingénieurs du Québec

Notre fondatrice et associée directeure Andrée-Lise Méthot est à l’honneur dans l’édition novembre-décembre 2016 de la revue Plan, publiée par l’Ordre des ingénieurs du Québec.

Lors de l’entrevue, elle a notamment abordé son parcours d’entrepreneure mais aussi ses convictions qui l’ont mené à la gestion d’un fonds en capital de risque dans le secteur des technologies propres.

L’entrevue peut être consultée en ligne ici.

En prime : une vidéo enregistrée pendant l’entrevue où Andrée-Lise livre quelques trucs pour les entrepreneurs.

Entrevue d’Andrée-Lise Méthot à RDI Économie

Notre fondatrice et associée directeure Andrée-Lise Méthot était en entrevue à l’émission RDI Économie du 9 décembre 2016, afin de parler de notre récente étude intitulée Bâtir une économie plus propre et plus innovante au Canada (Forging a Cleaner and More Innovative Economy in Canada). Elle a profité de l’occasion pour commenter l’entente cadre sur la stratégie pancanadienne de lutte aux changements climatiques.

Vous pouvez écouter l’entrevue ici (en début d’émission).

La compétitivité internationale du Canada menacée par un financement inadéquat de ses innovations en technologies propres

Une nouvelle étude révèle les lacunes dans la chaîne de financement du secteur canadien des technologies propres

Le 6 décembre 2016, Ottawa (Ontario) — Cycle Capital Management et Technologies du développement durable Canada (TDDC), en collaboration avec Écotech Québec, publient aujourd’hui une étude sur la compétitivité du Canada en ce qui concerne la chaîne de financement du secteur des technologies propres. L’étude a été dirigée par Gilles Duruflé, un consultant réputé du secteur du capital de risque, en collaboration avec Louis Carbonneau, fondateur et chef de la direction de Tangible IP et expert reconnu en matière de propriété intellectuelle.

Intitulée Forging a Cleaner and More Innovative Economy in Canada (Bâtir une économie plus propre et plus innovante au Canada), l’étude traite des difficultés actuelles de la chaîne de financement pour favoriser l’innovation et le changement dans le secteur canadien des technologies propres. En analysant en profondeur l’accès au capital de risque canadien, à la dette et aux subventions, l’étude identifie un certain nombre d’éléments pour lesquels le Canada est en retard par rapport aux leaders mondiaux en la matière et qui requièrent d’importantes améliorations.

« Plusieurs discussions sont en cours pour définir la stratégie canadienne contre les changements climatiques, et cette stratégie s’appuie sur le développement d’un secteur des technologies propres qui soit plus fort. Étant donné notre expertise, nous voulions fournir un maximum de données et de faits pour mieux comprendre comment nous pouvons bâtir une économie plus verte en créant des compagnies de technologies propres qui soient concurrentielles et de propriété canadienne. Il était à la fois stratégique et naturel de nous associer à Technologies du développement durable Canada, considérant leur importante contribution au secteur canadien des technologies propres », explique Andrée-Lise Méthot, fondatrice et associée directeure de Cycle Capital Management.

Selon Leah Lawrence, présidente-directrice générale de TDDC, « le secteur des technologies propres est soumis à une intense concurrence mondiale, où chaque pays met tout en œuvre pour tirer parti des avantages environnementaux, économiques et sociaux découlant de l’innovation en matière de technologies propres. Compte tenu des importants investissements dans ce domaine, nous voulions savoir où les technologies propres du Canada pouvaient avoir un avantage. De concert avec Cycle Capital, nous avons commandé une étude qui a notamment examiné le nombre de publications et de brevets détenus par les Canadiens dans des segments essentiels du secteur des technologies propres ».

Cette étude compare le secteur des technologies propres du Canada à celui des États-Unis et a recensé leurs points forts et leurs points faibles en tenant compte de leur taille économique respective. Bien que le Canada apparaisse comme un chef de file en matière de recherche universitaire, surtout dans le domaine des technologies propres, il manque de compétitivité en ce qui concerne la transformation de ces recherches en technologies prêtes pour la commercialisation, si l’on se réfère au nombre de brevets déposés dans le secteur des technologies propres.

De plus, l’étude démontre que le Canada est à la traîne par rapport aux États-Unis, toutes proportions gardées, à la fois pour le financement par le capital de risque et par la dette. Ces deux éléments sont cruciaux pour permettre aux entreprises d’innover, mettre à l’échelle leurs opérations et commercialiser leurs technologies.

L’étude a été réalisée dans l’espoir qu’en cernant ces points faibles dans la chaîne de financement, le secteur des technologies propres, le gouvernement et les investisseurs canadiens seront mieux à même de collaborer afin de prendre des mesures concrètes qui rendront ce secteur concurrentiel sur la scène mondiale.

Pour lire l’étude complète (en anglais), rendez-vous sur CCM-TDDC_Batir-une-economie-durable
À propos de Cycle Capital Management

Pionnier parmi les fonds de capital de risque canadiens du secteur des technologies propres, Cycle Capital investit dans des entreprises qui développent et commercialisent des technologies propres contribuant à la réduction des gaz à effet de serre (GES) ainsi qu’à l’optimisation des ressources et à l’amélioration de l’efficience des procédés sur l’ensemble du cycle de vie.

Avec un actif sous gestion de 230 millions de dollars, Cycle Capital investit au Québec et en Amérique du Nord. Cycle Capital, basé à Montréal et ayant un bureau à Toronto et une présence à New York et à Seattle, regroupe des professionnels de l’investissement chevronnés, des conseillers stratégiques et des partenaires industriels qui possèdent une connaissance approfondie du secteur. Cycle Capital a développé une relation privilégiée avec ses partenaires stratégiques, notamment avec Énergie renouvelable Brookfield, Rio Tinto, Cascades, Groupe M3, Lonza, Gaz Métro, Systemex Énergies, Aluminerie Alouette et Hydro-Québec. Pour plus d’informations sur Cycle Capital, consultez : www.cyclecapital.com .

À propos de Technologies du développement durable Canada 

Technologies du développement durable Canada (TDDC) joue un rôle catalyseur prépondérant dans la constitution d’une industrie des technologies du développement durable au Canada en finançant et en soutenant des projets canadiens de technologies propres dans différents secteurs. TDDC investit dans des entreprises canadiennes qui, par leurs technologies innovatrices, apportent une contribution positive au Canada en créant des emplois de qualité, en favorisant la croissance économique et en préservant notre environnement. TDDC est une fondation financée par le gouvernement du Canada.

 

Pour plus d’information sur cette étude, veuillez communiquer avec les personnes suivantes :

Gillian Cartwright
Gestionnaire, Affaires publiques
Technologies du développement durable Canada
[email protected]
613-234-6313, poste 350

OU

Catherine Bérubé
Chef des communications et relations publiques
Cycle Capital Management
[email protected]
+1 514 629-1022

Budget fédéral : Cycle Capital Management salue un budget visionnaire pour les technologies propres et l’économie canadienne

Ottawa, 22 mars 2016 — Cycle Capital Management accueille avec enthousiasme le vent de fraîcheur venant avec la présentation du budget du gouvernement fédéral pour 2016-2017. En effet, Cycle Capital salue ce budget qui présente une vision d’avenir pour l’économie canadienne, en misant sur des investissements importants en technologies propres, en innovation et dans les infrastructures vertes notamment.

Plus particulièrement, Cycle Capital souligne la création du Fonds pour une économie à faibles émissions de carbone, avec une enveloppe de 2 milliards de dollars sur deux ans à compter de 2017-2018, ainsi que l’investissement de 2,9 milliards de dollars sur cinq ans à la lutte contre les changements climatiques et la pollution de l’air. Les sommes accordées à Ressources naturelles Canada pour l’efficacité énergétique et la somme d’un milliard de dollars sur cinq ans consacrée à des futurs investissements dans les technologies propres sont également à saluer.

« Nous sommes prêts à relever le défi. En misant sur les technologies propres et des entrepreneurs performants, prêts à conquérir le monde, le Canada peut redevenir un joueur d’impact en technologies propres sur la scène internationale et se bâtir une prospérité à l’aide d’une économie plus verte », affirme Andrée-Lise Méthot, fondatrice et associée directeure de Cycle Capital Management.

À propos de Cycle Capital Management

Pionnier parmi les fonds de capital de risque canadiens du secteur des technologies propres, Cycle Capital investit dans des entreprises qui développent et commercialisent des technologies propres contribuant à la réduction des gaz à effet de serre (GES) ainsi qu’à l’optimisation des ressources et à l’amélioration de l’efficience des procédés sur l’ensemble du cycle de vie.

Avec un actif sous gestion de 230 millions de dollars, Cycle Capital investit au Québec et en Amérique du Nord. Cycle Capital, basé à Montréal et ayant un bureau à Toronto et une présence à New York et à Seattle, regroupe des professionnels de l’investissement chevronnés, des conseillers stratégiques et des partenaires industriels qui possèdent une connaissance approfondie du secteur. Cycle Capital a développé une relation privilégiée avec ses partenaires stratégiques, notamment avec Énergie renouvelable Brookfield, Rio Tinto, Cascades, le Groupe Master, Lonza, Gaz Métro, Systemex Énergies, Aluminerie Alouette et Hydro-Québec. Pour plus d’informations sur Cycle Capital, consultez : www.cyclecapital.com .

Enerkem obtient un financement de 152,6 M$ CA

Enerkem, une société qui produit des biocarburants et des produits chimiques à partir de déchets, annonce qu’elle a obtenu un financement de 152,6 M$ CA et effectué une production initiale de biométhanol à partir de matières résiduelles non-recyclables à son usine commerciale à pleine échelle Enerkem Alberta Biofuels d’Edmonton (Canada).
« Je dois dire un grand merci à nos partenaires financiers, à nos employés, à la ville d’Edmonton ainsi qu’à l’agence Alberta Innovates – Energy and Environment Solutions, qui ont cru en nous et nous ont accompagnés tout au long de notre progression vers cette étape cruciale, a déclaré Vincent Chornet, président et chef de la direction d’Enerkem. Nous sommes sur le point de totalement transformer le secteur des matières résiduelles au cours des prochaines années et de permettre aux sociétés énergétiques et aux fabricants de produits chimiques d’accéder enfin à une source nouvelle et concurrentielle de carbone renouvelable. »
Le financement comprend un emprunt de 29 M$ CA obtenu récemment auprès du groupe de créances privées de Integrated Asset Management Corp. (IAM), 50 M$ CA en placements privés provenant d’investisseurs actuels, et un emprunt de 73,6 M$ CA obtenu auprès de deux autres prêteurs durant la dernière année. Ce financement servira à l’expansion de la gamme de produits de l’usine d’Edmonton de même qu’à soutenir la croissance internationale de l’entreprise.
À propos d’Enerkem
Enerkem produit des biocarburants et des produits chimiques renouvelables à partir de matières résiduelles. Grâce à sa technologie exclusive, Enerkem convertit les matières résiduelles non-recyclables en méthanol, en éthanol ainsi qu’en d’autres produits chimiques intermédiaires utilisés couramment. Enerkem, dont le siège social est au Canada, possède une usine commerciale à pleine échelle en Alberta, une usine de démonstration ainsi qu’une installation pilote au Québec. La société développe actuellement de nouvelles bioraffineries en Amérique du Nord et ailleurs dans le monde, en utilisant son approche de construction modulaire. La technologie et les usines d’Enerkem contribuent à la diversification de nos sources d’approvisionnement en énergie et à la fabrication de produits plus écologiques tout en offrant une solution de rechange à l’enfouissement et à l’incinération. www.enerkem.com
À propos de IAM
Integrated Asset Management Corp. (TSX:IAM) est une des principales sociétés de gestion de placements non-traditionnels au Canada. Elle compte des actifs et du capital engagé sous gestion dans les secteurs des créances privées, de l’immobilier et des contrats à terme gérés. Le groupe de créances privées de IAM occupe la première place au Canada dans le domaine des créances privées de premier rang et de première qualité. www.iamgroup.ca
Source:
Marie-Hélène Labrie, Première vice-présidente, Affaires gouvernementales et communications, Enerkem inc.,
[email protected]
T : +1 514 875-0284, x. 231

Inocucor Technologies reçoit un brevet américain novateur pour un procédé biologique exclusif qui stimule la croissance des plantes

Inocucor Technologies reçoit un brevet américain novateur pour un procédé biologique exclusif qui stimule la croissance des plantes
Montréal, 27 juillet 2015 – Inocucor Technologies Inc., entreprise de biotechnologie agricole qui produit des accélérateurs de croissance biologiques durables pour les exploitants agricoles, a reçu un avis d’admission du Bureau américain des brevets et marques pour sa demande de brevet afin de protéger le consortium Inocucor et les produits microbiens uniques qui accélèrent la croissance des plantes et améliorent les rendements des cultures sur les fermes et dans les serres.

Ce brevet initial concerne le consortium microbien IN-M1 vivant d’Inocucor et ses sous-produits de fermentation, qui sont à la base du Garden Solution™, l’accélérateur de croissance de première génération. Le Garden Solution est formulé pour maintenir une croissance soutenue des plantes de façon naturelle, accroître leur vigueur et développer un sol friable et riche de façon active, améliorant ainsi la santé de l’ensemble des phytomicrobiomes.
Le brevet concerne chacun des micro organismes individuels Inocul-M™ caractérisés par Inocucor et dans d’autres consortiums vivants de tâche spécifique, comme le IN-M1. Les ingrédients biologiques produits durant le processus de fabrication de plusieurs espèces d’Inocucor sont aussi protégés.

« Inocucor est pionnier dans ce processus de fermentation exclusif qui combine des bactéries naturelles et des levures pour produire de puissants accélérateurs de croissance pour les sols, les semences et les plantes », mentionne Dr Margaret Bywater-Ekegärd, co fondatrice et vice-présidente exécutive de la technologie et de l’innovation chez Inocucor. « C’est le premier de nombreux brevets que nous prévoyons obtenir pour notre approche unique des processus et des produits de biostimulation, biofertilité et bioprotection ».

La protection brevetée d’Inocucor s’étend à la diffusion de ces composantes pour toutes les parties de la plante, au-dessus et au-dessous du sol, incluant les semences et les fruits, et dans tous les environnements où la plante pousse (dans un champ ou dans une serre). La protection couvre tous les types de systèmes de culture, y compris l’agriculture verticale, aéroponique et hydroponique. En l’occurrence, le Garden Solution d’Inocucor est maintenant disponible comme technologie exclusive pour la protection de la production des ingrédients naturels, que ce soit pour la culture d’aliments de spécialité, de produits frais à valeur élevée ou en combinaison avec des éléments nutritifs végétaux.

Situé à Montréal, Inocucor conçoit des produits biologiques durables qui améliorent les rendements culturaux, réduisent les cycles de végétation et favorisent la santé et la résistance des sols pour les agriculteurs biologiques, les serriculteurs et les agriculteurs producteurs de produits grand public. Sa technologie de base a été développée en 2007 par les Dr Bywater–Ekegärd et Dr Ananda Lynn Fitzsimmons, qui estimaient que des solutions microbiennes, plutôt que chimiques, seraient nécessaires pour aider les agriculteurs à nourrir une population mondiale croissante.

Inocucor a récemment ouvert un nouveau siège social ainsi qu’un laboratoire dans le corridor des biosciences de Montréal qui est conforme aux bonnes pratiques de fabrication (BPF) pour l’industrie alimentaire. Ces ouvertures ont notamment attiré des collaborateurs, tant du secteur privé qu’universitaire, au Canada et aux États-Unis.

Inocucor a bénéficié de deux cycles de financement en capitaux risques de la part de Cycle Capital Management, un fonds d’investissement canadien réputé, spécialisé dans les technologies propres. Au début du mois de février 2015, Inocucor a obtenu de Cycle Capital Management un financement provisoire avec la participation de Desjardins-Innovatech, société de capital risque de l’un des plus importants établissements financiers d’Amérique du Nord, et plus récemment avec deux bureaux aux États-Unis.

L’entreprise a aussi récemment lancé une ronde de financement en équité de série B de 15 millions de dollars qu’elle devrait conclure au second semestre de 2015.
À propos d’Inocucor Technologies Inc.
Inocucor Technologies Inc., établie à Montréal, est une entreprise de biotechnologie agricole qui conçoit des produits biologiques durables pour le secteur de l’agriculture qui ciblent les phytomicrobiomes — les semences, les plantes, les systèmes radiculaires et le sol qui les entourent. Le produit de première génération d’Inocucor, Garden Solution®, utilise des microbes vivants pour améliorer activement la santé de l’ensemble des phytomicrobiomes. Les prochaines générations des produits d’Inocucor représentent des solutions biologiques acellulaires puissantes pour la biostimulation et la bioprotection dans la production agricole courante. Pour obtenir plus d’informations, consultez www.inocucor.com.

Renseignements
Michele Wells
[email protected]
T : 303-417-0696
Site web:

Richard Cloutier nommé conseiller stratégique d’Ecofuel

Les membres du conseil d’administration d’Ecofuel sont heureux d’annoncer la nomination de Richard Cloutier comme conseiller stratégique de l’accélérateur destiné aux entreprises en démarrage dans le domaine des technologies propres.
« Richard possède une riche expérience en matière d’innovation, de démarrage d’entreprises, de relations internationales et de développement de projets ici et à l’étranger; une expertise qui profitera grandement aux entreprises sélectionnées dans l’accélérateur Ecofuel », a déclaré Simon McDougall, président-directeur général et entraîneur-chef d’Ecofuel.
« Non seulement les entreprises sélectionnées par l’accélérateur pourront bénéficier du savoir de Richard mais aussi l’ensemble de l’écosystème des technologies propres. Ses connaissances acquises auprès du secteur des biotechnologies seront très utiles à nos entreprises en démarrage », a déclaré Denis Leclerc, président et chef de la direction d’Écotech Québec et membre du conseil d’administration d’Ecofuel.
Jusqu’à tout récemment, Richard Cloutier était président et directeur général du Centre québécois de valorisation des biotechnologies (CQVB), un organisme dédié à l’innovation et au transfert de technologies dans le secteur des bio-industries, incluant la santé humaine et les bioproduits industriels. Il joue un rôle très actif depuis les 30 dernières années dans l’industrie des sciences de la vie à titre de président et chef de la direction d’entreprises de biotechnologies, gestionnaire de projets de recherche et professionnel de recherche. Il a été le fondateur et PDG de Gelkem pendant près de 10 ans, une société biopharmaceutique privée impliquée dans les systèmes de libération contrôlée de médicaments.
M. Cloutier est détenteur d’un B.Sc en biochimie de l’Université de Sherbrooke et d’un MBA de l’Université Laval. Il a participé à de nombreuses missions commerciales et projets de transfert technologiques afin de promouvoir les innovations biotechnologiques québécoises (Chine, Inde, Israël, France, États-Unis et Allemagne). Son expertise est aussi sollicitée sur les conseils d’administration de divers organismes et sociétés privées où il siège à titre de membre.
À propos de l’Accélérateur Ecofuel
L’accélérateur Ecofuel travaille avec les entrepreneurs du secteur des technologies propres pour accélérer le démarrage de leur entreprise avec comme objectif de les rendre concurrentielles au niveau international. En plus d’une mise de fonds pouvant aller jusqu’à 100 000 $, Ecofuel offre à ses entrepreneurs un programme intensif d’ateliers de formation, de sessions de réseautage et de mentorat, de même que des bureaux dédiés à Montréal, le tout dans l’objectif d’accroitre l’entrepreneuriat et de contribuer à la réalisation de projets d’entreprise.
En plus du support financier et administratif de Cycle Capital, Ecofuel peut compter sur l’appui et la collaboration d’Écotech Québec, d’Innovacorp et de Technologies du développement durable du Canada (TDDC).

Renseignements
Catherine Bérubé

Chef des Communications et affaires publiques
[email protected]
T : 514 495-1022 x 203
C : 514-629-1022
Site web: ecofuelaccelerate.com

Twitter : @ecofuelstartups

Inocucor Technologies inaugure un nouveau laboratoire et son siège social, franchissant une étape importante de son développement

Inocucor Technologies Inc. Ltd, entreprise de biotechnologie agricole qui produit des accélérateurs de croissance biologiques durables pour les exploitants agricoles, a inauguré aujourd’hui son nouveau siège social de 10 000 pieds carrés situé dans le Technoparc Montréal, au 7220 Frederick-Banting.
Inocucor est un chef de file et producteur innovant en produits biologiques qui améliorent les rendements culturaux, réduisent les cycles de végétation et favorisent la santé et la résistance des sols, pour les agriculteurs biologiques, les serriculteurs et les agriculteurs-producteurs de produits grand public.
Sa nouvelle installation a été conçue de manière à être conforme aux bonnes pratiques de fabrication (BPF) actuellement en vigueur dans l’industrie alimentaire. Elle abrite le siège social de l’entreprise, les laboratoires de R&D ainsi que la production pilote des biostimulants de prochaine génération, qui ont attiré des collaborateurs tant du secteur privé qu’universitaire, au Canada et aux États-Unis.
Dans son discours d’inauguration aujourd’hui, le président-directeur général d’Inocucor, Donald R. Marvin, a fait part des progrès accomplis par l’entreprise au cours des deux dernières années, depuis le lancement de Garden SolutionTM, un produit certifié « OMRI Listed® » en production biologique, autorisé dans 27 États américains, et qui génère d’importants revenus de la part de producteurs et serriculteurs des États de Caroline du Nord et du Sud, de Floride, de Géorgie et de Virginie.
« L’inauguration de ce superbe établissement, à la fine pointe de la technologie, offre à Inocucor un tremplin pour développer et introduire sur le marché des produits de biostimulation et de bioprotection durables d’avant-garde, qui permettent aux plantes de pousser plus vigoureusement et augmentent leur capacité à résister aux maladies », a-t-il déclaré.
« Nos projets en matière de nouveaux produits sont ambitieux. Mais ils sont atteignables, car notre solution technologique est unique dans le secteur des produits agricoles biologiques. Chaque jour apporte la preuve de son efficacité, aux champs comme aux laboratoires et dans les serres d’instituts de recherche réputés, tels que l’Université McGill. »
La technologie de base d’Inocucor a été développée en 2007 par deux scientifiques montréalaises, Dr Margaret Bywater–Ekegärd et Ananda Lynn Fitzsimmons, qui pensaient que des solutions microbiennes, plutôt que chimiques, seraient nécessaires pour aider les agriculteurs à nourrir une population mondiale croissante. Elles utilisent un procédé de fermentation exclusif, apparenté à la vinification, pour obtenir de puissants stimulateurs de croissance des sols, des semences et des plantes à partir d’un mélange de bactéries et de levures naturelles.
« Nous sommes très heureux de compter Inocucor Technologies parmi les entreprises prospérant à Saint-Laurent », a déclaré Alan DeSousa, maire de Saint-Laurent. « Leurs travaux en matière de développement de produits biologiques durables correspondent à une vision positive qui allie prospérité et respect de l’environnement, ce qui est en lien avec les valeurs de l’arrondissement. Par ailleurs, avec son bassin de 4600 entreprises et ses quatre grandes grappes industrielles, Saint-Laurent offre un environnement propice au développement des affaires autant grâce à sa situation géographique au coeur de l’île de Montréal qu’à son dynamisme en recherche et développement. »
Inocucor a bénéficié de deux cycles de financement en capital de risque de la part de Cycle Capital Management, un fonds d’investissement canadien réputé, axé sur les technologies propres. En début février 2015, Inocucor a obtenu de Cycle Capital Management un financement provisoire avec la participation de Desjardins-Innovatech, société de capital-risque d’un des plus grands établissements financiers d’Amérique du Nord.
L’entreprise a lancé récemment un financement en équité de série B de l’ordre de 15 millions de dollars, qu’elle devrait conclure au second semestre de 2015.
Au cours des six derniers mois, Inocucor a été rejointe par une douzaine de scientifiques, spécialistes de l’exploitation et professionnels de la vente. Donald R. Marvin estime que les effectifs d’Inocucor devraient atteindre 35 employés d’ici début 2016. Inocucor a établi des partenariats de développement de coproduits avec Axter Agrosciences inc., l’un des principaux fournisseurs canadiens de solutions d’alimentation foliaire des cultures, et avec le département de sciences végétales de l’Université McGill.
Au Canada, Inocucor a déjà mis en œuvre un certain nombre d’essais au champ afin de tester son produit de deuxième génération sur le soja et le maïs. Dans le sud-est des États-Unis, l’entreprise conduit actuellement près de 100 démonstrations terrain sur des tomates, fraises, pastèques, brocolis et autres produits de haute valeur. Elle vient tout juste de commencer à travailler avec des exploitants de l’Iowa et de l’Illinois pour tester ses produits biologiques sur plus de 40 hectares de maïs et de soja.
Lors des deux premières années d’essais terrain menés sur des cultures en rang à l’Université McGill, le produit de biostimulation de deuxième génération d’Inocucor pour agriculture à grande échelle, a entraîné une hausse de rendement d’au moins 10 pour cent. Lors d’un essai réalisé en 2014 par le Programme d’agriculture durable de l’Université de Clemson sur des brocolis de la variété Packman, les plants traités avec Garden Solution d’Inocucor ont donné un rendement de 38 % supérieur à celui des brocolis non traités. Pour plus d’information sur les essais récents, cliquez sur le lien suivant : http://inocucor.com/fr/la-science/champs-detudes/
Donald L. Smith, phytologue de l’Université McGill et reconnu sur le plan international, préside le comité consultatif scientifique (CCS) d’Inocucor. Le conseil d’administration de l’entreprise a également été rejoint par deux sommités nord-américaines du monde agricole : Jim Blome, président-directeur général de Bayer CropScience L.P et chef de sa filiale nord-américaine de Protection des cultures, et Dr Ted Crosbie, l’une des plus éminentes figures de la recherche et du développement agronomiques, qui a dirigé la Sélection mondiale végétale et la Sélection mondiale du blé chez Monsanto, de 1996 à 2014.
À propos d’Inocucor Technologies Inc.
Inocucor Technologies Inc., établie à Montréal, est une entreprise de biotechnologie agricole qui conçoit des produits biologiques durables pour le secteur de l’agriculture qui ciblent les phytomicrobiomes — les semences, les plantes, les systèmes radiculaires et le sol qui les entourent. Le produit de première génération d’Inocucor, Garden Solution®, utilise des microbes vivants pour améliorer activement la santé de l’ensemble des phytomicrobiomes. Les prochaines générations des produits d’Inocucor sont des solutions biologiques acellulaires puissantes pour la biostimulation et la bioprotection dans la production agricole courante. Pour obtenir plus d’informations, consultez www.inocucor.com.

Information
Michele Wells
Wells Communications (303) 417-0696
[email protected]

MineSense Technologies clôture une ronde de financement de série B de plusieurs millions de dollars

Prelude Ventures a mené la ronde pleinement souscrite, alors que MineSense travaille à la mise en marché de ses systèmes de tri du minerai guidés par capteurs – validés avec succès auprès de la clientèle –, conçus pour augmenter l’extraction de la ressource et la  récupération du métal, tout en réduisant les coûts et l’impact environnemental.

Vancouver, Canada, 4 juin 2015
MineSenseTM Technologies Ltd, un pionnier des solutions de tri du minerai en vrac, guidé en temps réel par capteurs, a annoncé aujourd’hui la clôture finale d’un financement de série B de plusieurs millions de dollars. Prelude Ventures de San Francisco a mené la ronde pleinement avec la participation d’Exportation et Développement Canada (EDC),Cycle Capital Management, et de l’investisseur initial Chrysalix Energy Venture Capital. Cette ronde de financement revêt une importance stratégique pour la firme de technologie minière et survient juste au terme d’essais sur le terrain financés directement par l’une des plus grandes compagnies minières au monde.

« Avec des dépôts plus rares et de qualité inférieure, et des prix en baisse pour les métaux, l’industrie minière mondiale est à l’affût de tout gain d’efficacité pour contrer la hausse des coûts et la réduction des marges de revenus », déclare Tim Woodward, directeur des opérations chez Prelude Ventures. « Les bonnes innovations technologiques peuvent être le moteur de l’efficience opérationnelle. MineSense cible spécifiquement l’une des dépenses majeures pour une mine – le coût en énergie pour concasser les déchets de roc – ce qui permet d’optimiser les procédés d’extraction du minerai et de récupération du métal de façon significative, Cette innovation, dont la période de remboursement atteint à peine quelques mois, permet également de réduire considérablement l’empreinte énergétique. »

MineSense a développé une plateforme de détection du minerai qui est rapide, robuste et extensible, et qui s’intègre aux équipements de pelletage et de manutention par convoyeurs. Elle fournit, en temps réel, une évaluation exacte et précise de la teneur en minerai, permettant ainsi une prise de décision éclairée pour le contrôle de l’extraction et du routage des matériaux, ce qui maximise la conversion de la ressource et la récupération du métal. Avec une sensibilité, un rayon d’action et une rapidité sans précédents, les résultats d’essais préliminaires concluent que la solution MineSense promet d’augmenter l’exactitude de la classification minerai/déchets de plus de 50 %, pour une amélioration de la marge allant jusqu’à 20 % via des économies en énergie, en eau et en produits chimiques. Les premiers produits incluent ShovelSense™ qui s’adapte sur les pelles existantes, offrant une nouvelle configuration pour le classement et le tri du minerai en vrac pour les applications en surface, et SortOre™, une solution de tri semi-vrac fournissant une deuxième étape de récupération du minerai ou de rejet des déchets grâce une résolution supérieure lorsque requise.

« Les solutions de tri du vrac MineSense vous assurent de transporter uniquement le minerai de valeur élevée vers les processus en aval, ce qui améliore l’extraction et la récupération tout en réduisant le coût global d’opération », déclare Ian Pearce, président du conseil de MineSense, partenaire chez X2 Resources, ex-président de l’Association minière du Canada, et ex-PDG de Xstrata Nickel. « L’objectif est de régler les enjeux de qualité en amont des processus les plus coûteux, ce qui a pour effet de réduire les besoins en énergie et en eau, un aspect qui devient de plus en plus important pour les compagnies minières et pour la collectivité en général. »

Avec plus de six milliards de tonnes de roc déplacées chaque année, et face à des dépenses de plus de 100 milliards $ en capital et 150 milliards en coût d’énergie, la solution pré-concentration de MineSense s’adresse spécifiquement aux opérations intensives d’extraction et de traitement, de manière à assurer que le « bon » matériel soit livré à la « bonne » destination.
Un nouvel investisseur, Annie Theriault d’Exportation et Développement Canada, déclare : « Nous sommes fiers d’avoir concrétisé un investissement dans une compagnie canadienne de technologie qui a le potentiel d’optimiser les opérations minières et de réaliser des économies d’énergie phénoménales au niveau industriel. Les mines sont essentielles à l’économie canadienne et MineSense a développé une technologie qui a le potentiel d’apporter un changement fondamental dans un secteur qui a besoin d’innovation. »

« La technologie développée par MineSense permet aux compagnies minières de générer des profits à partir de matières actuellement considérées comme des résidus. Grâce à un tri plus efficace, les minières consomment moins d’énergie et maximisent la récupération du métal, réduisant ainsi l’impact de l’extraction du minerai sur l’environnement tout en augmentant leur marge, un aspect central dans cette industrie. Voilà pourquoi Cycle Capital est fière de devenir un nouveau partenaire de MineSense », a déclaré Andrée-Lise Méthot, fondatrice et associée directeure chez Cycle Capital.
Andrew Bamber, PDG et fondateur de MineSense, ajoute : « Depuis notre financement de série A au printemps 2013, nous avons accompli des progrès significatifs en regard de jalons préétablis, incluant le développement critique de produits et la réduction des risques du marché. Par exemple, nous avons devancé le déploiement de nos produits ShovelSense et SortOre pour des essais sur le terrain financés par des clients au Canada et en Amérique du Sud, ce qui a permis de vérifier nos affirmations liées aux coûts et aux revenus. Cette validation externe, combinée à notre capacité à harnacher les technologies de l’internet industriel et des métadonnées (« Big Data »), a attiré un groupe d’investisseurs stratégiques de série B avec lequel nous allons collaborer dans notre progression vers la mise en marché de nos produits en 2016. À plus court terme, nous cherchons à étendre nos essais sur le terrain au-delà de cet indispensable partenariat initial. »

Pour en savoir davantage sur la solution MineSense ou pour vous renseigner sur un essai sur le terrain, veuillez nous contacter par courriel à [email protected] ou appeler +1 604 987 9999.

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À propos de MineSense Technologies

MineSense est un pionnier des solutions de tri du minerai en vrac, guidé en temps réel par capteurs, pour les mines à grande échelle et à teneur réduite, et pour l’extraction des métaux précieux. Notre plateforme de détection du minerai est rapide, robuste et extensible, et elle s’intègre aux équipements de pelletage et de manutention par convoyeurs. Elle fournit en temps réel une évaluation exacte et précise de la teneur en minerai, permettant ainsi une prise de décision éclairée pour le contrôle de l’extraction et du routage des matériaux, ce qui maximise la conversion de la ressource et la récupération du métal. En optimisant les pratiques actuelles de cette façon, MineSense rend l’extraction du minerai à teneur réduite économiquement viable, tout en améliorant la marge de revenus des compagnies minières et en leur permettant de développer des façons de faire plus durables. Pour plus d’information, consultez le www.minesense.com.

Contact media
Kristina Lee
Magnolia Marketing Communications (778) 999-8562
[email protected]

GaN Systems lève 20M$ (USD) en financement de série C

La compagnie se positionne comme leader dans l’industrie des semi-conducteurs de puissance dans l’un des plus vastes cycles d’innovation depuis des décennies

GaN Systems lève 20M$ (USD) en financement de série C

GaN Systems Inc., le principal développeur de semi-conducteurs de puissance au nitrure de gallium (GaN) a annoncé aujourd’hui la clôture d’une ronde de financement de capital-risque de 20M$ (USD). Cycle Capital Management a mené la ronde d’investissement à laquelle participaient également la Banque de développement du Canada (BDC), la firme Tsing Capital, basée à Pékin, ainsi que les investisseurs actuels Chrysalix Energy Venture Capital et RockPort Capital. Cette ronde de financement permettra à GaN Systems d’augmenter ses ventes de produits, ses efforts marketing ainsi que sa capacité de production afin de répondre à sa clientèle internationale en pleine croissance qui utilise la technologie de transistors du puissance au GaN pour créer des produits destinés aux marchés des consommateurs et des entreprises.

La technologie de transistors de puissance au GaN est en voie de créer une rupture dans le marché actuel, évalué à 15 milliards de dollars, et GaN Systems est en position de devenir un vrai leader dans ce marché. La technologie unique développée par GaN Systems, Island Technology™, permet la conception d’appareils électroniques plus petit et plus efficient que les modèles conçus à partir de transistors au silicium. Cette technologie représente une innovation inédite dans le secteur de l’efficacité énergétique car il permet non seulement un gain d’efficacité énergétique par rapport aux modèles concurrents, mais il permet également de réduire les coûts de production habituels et l’impact sur l’environnement.

La technologie révolutionnaire de transistor électronique de puissance conçue par GaN Systems peut être utilisée pour une grande variété d’utilisations. Elle permet d’améliorer l’efficacité des centres de données et des convertisseurs solaires, de diminuer l’épaisseur des téléviseurs, de réduire la taille des moteur puissants, d’allonger la distance parcourue par les véhicules électriques, en plus d’une multitude d’autres applications destinées aux consommateurs, aux entreprises et aux industries, notamment l’industrie du transport.

« Améliorant les performances de l’électronique de puissance de façon significative, la technologie innovante Island Technology™ créée par GaN Systems apparaît comme l’une des meilleures innovations dans l’industrie des semi-conducteurs car elle permet à la fois d’augmentant drastiquement la performance énergétique de l’électronique de puissance, en plus de réduire la consommation d’énergie et l’impact sur l’environnement actuellement engendré dans ce secteur d’activité. Voilà pourquoi nous sommes fiers de soutenir une compagnie établie, positionnée pour devenir un leader dans ce marché de plusieurs milliards de dollars. Claude Vachet, associé directeur chez Cycle Capital, accompagné d’une équipe chevronnée et expérimentée dans le secteur de l’électronique, a mené cet investissement que nous sommes enthousiastes d’accueillir au sein de notre portefeuille d’entreprises », a déclaré Andrée-Lise Méthot, fondatrice et Associée Directeure chez Cycle Capital.

« À titre de firme de capital-risque ayant une vaste expérience d’investissement en Chine, nous sommes enchantés d’ajouter GaN Systems dans notre portefeuille d’entreprises du secteur de l’efficacité énergétique. La Chine représente l’un des plus vastes et des plus dynamiques marchés pour l’électronique de puissance dans le monde et il nous tarde d’offrir notre soutien et notre aide pour poursuivre l’expansion de la compagnie et augmenter la livraison de produits », a ajouté Michael Li, Associé Directeur chez Tsing Capital.

« Nous nous réjouissons d’accueillir un groupe de nouveaux investisseurs qui, à travers de précieux conseils stratégiques, du soutien dans la recherche d’investissements ou comme intermédiaires pour de nouveaux partenariats dans des marchés croissants, permettront d’établir GaN Systems comme un leader reconnu dans l’industrie des transistors de puissance, a déclaré Jim Witham, président directeur général de GaN Systems. « À travers le monde je rencontre des clients pour qui notre technologie a permis la conception de produits dont la performance énergétique est améliorée et qui ont le quart de la taille et du volume des produits précédemment créés. Ils ont également développé de nouveaux produits qui n’auraient pu être créé sans notre technologie d’interrupteur à haute vitesse. »
À propos de GaN Systems
GaN Systems est une compagnie de semi-conducteur qui conçoit des transistors de nouvelle génération au GaN pour des applications de conversion et de contrôle de puissance. Afin d’outrepasser les limites du silicium et la capacité en courant électrique, la compagnie a développé la plus vaste gamme de transistors de puissance au GaN et destinés à une large variété de marchés. La technologie unique de GaN Systems, Island Technology®, répond aux défis actuels de coût, de performance et de mise en production de l’industrie des semi-conducteurs, en plus de créer des appareils qui sont à la fois plus petits et efficients que les autres semi-conducteurs au GaN. Le siège social de GaN Systems est basé à Ottawa au Canada. Pour plus d’informations, consultez le www.gansystems.com.
À propos de Cycle Capital Management
Pionnier parmi les fonds de capital de risque canadiens du secteur des technologies propres, parmi les fonds de capital de risque canadiens du secteur des technologies propres, Cycle Capital investit dans des entreprises qui développent et commercialisent des technologies propres contribuant à la réduction des gaz à effet de serre (GES) ainsi qu’à l’optimisation des ressources et à l’amélioration de l’efficience des procédés sur l’ensemble du cycle de vie.

Avec un actif sous gestion de 230 millions de dollars, Cycle Capital investit au Québec et dans le nord-est de l’Amérique du Nord. Cycle Capital regroupe des professionnels de l’investissement chevronnés, de conseillers stratégiques et de partenaires industriels qui possèdent une connaissance approfondie du secteur. Cycle Capital profite d’une relation privilégiée avec ses partenaires stratégiques, notamment avec Énergie renouvelable Brookfield, Rio Tinto Alcan, Cascades, le Groupe Master, Lonza, Gaz Métro, Systemex Énergies, Aluminerie Alouette et Hydro-Québec.

Renseignements
Catherine Bérubé

Chef des communications et relations publiques
 Cycle Capital Management

[email protected]
T : 514 495-1022 x 203
C : 514-629-1022

Site web : www.cyclecapital.com 

Twitter : @CycleCapitalVC